Après plusieurs années de travail, les activités des projets IDDA, FAM et PAREA se sont achevées!

Trois projets d’envergure coordonnés par la Fondation Paul Gérin-Lajoie se sont terminés. Après plusieurs années de travail, les activités des projets IDDA (Insertion Durable des Diplômé(e)s en Agropastoral), PAREA (Projet d’appui à la résilience des entreprises agricoles) et FAM (Projet Femmes-leaders en agropastoral au Mali) se sont achevées!

À cet effet, voici un bref retour sur ces 3 projets d’envergures :

Le projet IDDA, financé par Affaires mondiales Canada, avait commencé en 2016 au Mali et au Bénin, et en 2017 en Haïti. En travaillant avec des centres de formation en agropastoral, il visait à renforcer leur gestion organisationnelle pour un meilleur apprentissage par les jeunes. Ces derniers bénéficiaient aussi de stages pratiques dans des entreprises locales, afin de compléter leur formation. Par la suite, un appui financier du projet permettait de faciliter leur insertion en entrepreneuriat agricole.

 

Le projet FAM, financé depuis 2018 par le syndicat UNIFOR, venait compléter le projet IDDA au Mali, en mettant l’accent sur l’entrepreneuriat féminin. Plusieurs jeunes diplômées ont ainsi pu bénéficier de kits d’insertion bonifiés pour se lancer en agriculture, ainsi que de bourses de persévérance. De plus, des activités de renforcement du leadership féminin ont aussi été réalisées, en mettant en relation ces jeunes avec des femmes entrepreneures de leurs localités.

 

 

Le projet PAREA, quant à lui venait développer le côté environnemental du projet IDDA au Bénin depuis 2017. Il s’agit d’une initiative financée par le Ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la lutte contre les changements climatiques (MDDELCC) à travers le Programme de coopération climatique internationale (PCCI) du Fonds vert du gouvernement du Québec. Ce projet, en association avec l’Université Laval, avait pour objectif d’améliorer la résilience aux répercussions des changements climatiques pour les entreprises développées par les jeunes diplômé(e)s. Il s’intéressait particulièrement à la technique des bois raméaux fragmentés (BRF), permettant d’améliorer les conditions de culture notamment en termes d’usage de l’eau.

 

À noter, bien que les activités sur le terrain soient terminées, il reste encore du travail. En effet, des activités de rapportage, d’évaluation, de capitalisation et de fermeture sont encore en cours… À l’issue de celles-ci, il sera possible d’avoir un regard global qualitatif et quantitatif sur les réalisations des projets, ce que nous ne manquerons pas de partager avec vous!