Pour la 33e édition, place à l’initiative!

Bâtissons un avenir plein de possibilités!

Cette année, c’est sous le thème du leadership et des compétences de vie que nous lançons cette 33e édition du projet. À travers les diverses activités proposées et les exemples de modèles inspirants qui leur sont présentés, les jeunes seront encouragés à prendre des initiatives, à relever des défis, à résoudre des problèmes, à exprimer leurs idées, à développer leur créativité et la confiance en soi.

Une source de motivation et de fierté pour les jeunes

      • Développe la confiance en soi, le sens de l’initiative et de solidarité
      • Incite à devenir des actrices et acteurs engagés
      • Valorise l’usage et la maitrise de la langue française
      • Permet des rencontres exceptionnelles

Une offre éducative gratuite et clé en main  

      • Mon Magazine avec des exercices amusants et imagés, des mises en situation, des témoignages et des exemples concrets;
      • Guide des enseignants avec le calendrier des étapes, la répartition des thématiques, des dictées variées, les notes pédagogiques et le corrigé des activités;
      • Guide de l’école avec les étapes détaillées, les dates importantes, les processus particuliers expliqués (inscriptions des finalistes aux concours, rapport de l’école, etc.);
      • L’espace activités avec + de 600 activités interactives, Mon Magazine 2023-2024 en ligne, les anciennes éditions à revivre et des dictées audio.

Découvrez l’affiche de la 33e édition!

Ne manquez pas la chance de prendre part à cette 33e édition du projet!

Inscrivez votre école dès maintenant sur le Portail en ligne.

La serviette réutilisable pour la santé et la rétention scolaire des filles

Au Bénin, le groupement des Femmes Battantes s’est lancé dans la fabrication de serviettes hygiéniques lavables réutilisables. En complément de leur activité de maraîchage afin de consolider les revenus des sept femmes membres du groupement, ces ingénieuses entrepreneures soutenues par l’ONG RAIL et son directeur Éric Prosper Dossa ont tôt fait de comprendre l’impact social et économique de cette initiative qui leur vaut l’admiration de leur communauté. Récit d’un succès sanitaire au féminin avec le témoignage de Fernande Ahissouvou, actrice de changement, présidente du regroupement engagée sur la voie d’ISEF – Initiative pour la co-construction d’un savoir commun Sud-Sud et Sud-Nord sur l’Entrepreneuriat féminin – portée par la Fondation Paul Gérin-Lajoie jusqu’en 2024, grâce à un financement du Ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec au travers du Nouveau Québec sans frontières.

Leader et ambitieuse, Fernande a osé faire le saut dans la dimension entrepreneuriale avec le projet de fabrication des serviettes hygiéniques lavables et sa commercialisation. Au préalable, elle avait réalisé son propre diagnostic. D’abord socialement, relevant les moqueries des garçons envers les jeunes filles en période de menstrues, souvent contraintes à manquer les cours. Et environnementalement, car les serviettes commerciales causent de la pollution. C’est grâce à une formation octroyée par l’ONG RAIL qu’elle apprend les rouages de la fabrication dans le cadre d’ISEF, un programme d’autonomisation économique des femmes, d’amélioration de leur bien-être et du renforcement des droits destiné à favoriser l’entrepreneuriat féminin dans les régions de Comé et Porto-Novo, au Bénin, et le district de Kirehe, au Rwanda.

Fernande apprend la couture et peut compter sur le matériel fourni par le RAIL dans le cadre d’une formation offerte à 15 femmes issues de huit regroupements. Elles parviennent à fabriquer des serviettes en coton, esthétiques, confortables et pratiques, avec leur bande de tissu imperméable et bouton pression. Un matériel à leur disposition grâce à un fournisseur de la capitale Cotonou. Ce modèle original est une alternative aux serviettes commerciales vendues entre 2000 et 3000 francs CFA (soit près de 7 dollars canadiens). Les serviettes de Fernande coûtent 500 francs CFA l’unité, et le lot de 6 revient à 3000 francs CFA. Un avantage économique pour un usage écologique dans un pays où l’éducation aux règles d’hygiène menstruelle demeure un enjeu de sensibilisation, surtout auprès des garçons et des hommes.

Évoquer l’hygiène menstruelle appelle au dialogue parents filles, rappelle Éric Prosper Dossa. Une communication ouverte et sans tabou qui doit permettre une meilleure compréhension de cette période et des manifestations dans le corps de la jeune fille, souligne-t-il. Par l’avènement des serviettes lavables, on assiste aussi à une innovation favorable au changement des mentalités. Améliorant sans cesse le modèle pour un confort optimal, Fernande et ses pairs font preuve de détermination à percer le marché et à s’y tailler une place de choix malgré la concurrence. Relevant le pari avec ambition, les Femmes battantes espèrent étendre leur commercialisation auprès des milieux ruraux, dans les villages afin que les filles en menstrues ne subissent plus d’impact dans le processus de leur évolution scolaire et professionnelle et soient respectées.

La santé menstruelle est définie comme « un état de bien-être complet, physique, mental et social, qui ne se limite pas à l’absence de maladie ou d’infirmité, en relation avec le cycle menstruel » (UNFPA, 2022). Elle implique une gestion adéquate de l’hygiène menstruelle (GHM)[1], or étant encore une réalité taboue, de nombreuses adolescentes n’ont pas accès aux informations requises, sont souvent peu préparées à avoir leurs règles et à savoir comment les gérer. Au travers de ses divers projets (ISEF, PASSREL, le Programme CLÉ et KIX), la Fondation et ses partenaires du continent africain et d’Haïti contribuent à la lutte contre la précarité menstruelle, en sensibilisant les communautés à l’égalité de genre et aux droits et à la santé sexuelle et reproductive.

[1] Désigne l’accès à des informations, une préparation et un soutien adaptés qui permettent aux jeunes filles de gérer leurs menstruations de manière hygiénique, avec dignité et en toute sécurité (ONU)

Saviez-vous que… les premières règles qui surviennent entre 10 et 16 ans sont pour de nombreuses jeunes filles dans le monde, une expérience difficile, voire traumatisante, particulièrement pour celles se trouvant en situation de vulnérabilité ?

Plusieurs d’entre elles sont contraintes de limiter leurs activités quotidiennes durant leur cycle menstruel, non seulement à cause de l’inconfort ou des douleurs ressenties, mais aussi en raison de moqueries, de stigmatisations, de préjugés auxquelles elles font face et de certaines normes socioculturelles qui contribuent à leur exclusion sociale.

Dans certaines sociétés, les femmes et les filles sont considérées comme contaminées et impures durant la période de leurs règles, et des restrictions leur sont imposées, telles que l’interdiction de cuisiner ou de participer à des activités communautaires. Ces limitations, restrictions et stigmatisations engendrent des impacts néfastes sur leur santé, leur bien-être et leur qualité de vie. Selon l’UNESCO et l’UNICEF, une fille sur dix en Afrique subsaharienne manque l’école lors de son cycle menstruel ce qui représente 20 % du temps scolaire perdu sur une année.

De nombreuses jeunes femmes africaines entrepreneures produisent des serviettes menstruelles réutilisables à prix abordable avec des produits locaux. De plus, elles forment et sensibilisent les jeunes et les communautés sur la gestion de l’hygiène menstruelle, contribuent à l’autonomisation des filles et des femmes et à la protection de l’environnement. Les ventes de ces serviettes permettent à des groupements de femmes d’obtenir des revenus complémentaires à leurs activités.

L’éducation aux lois en matière d’égalité en Haïti

Maître Mona Jean a rejoint le consortium PASSREL – Projet d’Appui à la santé sexuelle et reproductive égalitaire lancé en Haïti le 5 juillet 2022. Déjà, son engagement s’exprime par une envie concrète de voir des jours meilleurs pour les adolescentes et les femmes de la Commune de Croix-des-Bouquets.

Depuis quand êtes-vous impliquée et quel fut le déclencheur ?
Depuis l’automne 2022, j’ai adhéré à PASSREL pour son côté innovateur, et pour faire une différence face à la situation socio-politique en Haïti, plus précisément le territoire d’implantation dans la Commune de Croix-des-Bouquets. Un milieu de non-droit, où sévissent les gangs de rue, de jour comme de nuit. Cela n’a pas contraint Affaires mondiales Canada à y ériger PASSREL, ce qui confirme qu’il s’agit d’un choix ambitieux porteur d’espoir qui a attiré mon attention. En tant que personne engagée dans le combat du changement social en Haïti, je crois qu’un pays ne meurt jamais ! Chaque citoyen et citoyenne doit pouvoir apporter sa construction sociale. 

En tant qu’avocate et travailleuse sociale, vous conseillez des jeunes venant de milieux défavorisés et marginalisés. Votre rôle au sein de PASSREL vous permet aussi d’apporter votre expertise juridique, comment le concevez-vous ?
Il faut savoir qu’Haïti est membre fondateur des Nations Unies. Le pays a signé et ratifié des conventions en matière de droits de la personne. Il faut parler de la personne sans considération aucune, toutes catégories sociales confondues, comme le dit l’article 2 de la Déclaration universelle des droits humains. Avec la ratification du pacte relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, on peut se demander dans quelle mesure s’inscrivent les droits à la santé.

Suite au tremblement de terre en 2012 en Haïti, l’une des recommandations consistait à ratifier ce pacte. Sinon, il n’y avait aucune obligation. Pour moi, le droit à la santé est encore une lutte à mener dans le respect des droits de la personne. En dépit de l’article 19 de la Constitution nationale qui est une obligation de l’État de garantir le droit à la vie, à la santé. Il s’agit d’un engagement qui s’inscrit dans cette constitution d’État de droit à revoir. On touche aux sciences sociales, il faut dynamiser les choses en la matière ! Je suis aussi travailleuse sociale, engagée auprès de toutes les communautés vulnérables. La personne d’abord, son statut social et son niveau intellectuel ensuite. Les femmes sont parmi les groupes les plus marginalisés pour plusieurs raisons. 

Quelles sont ces raisons ?
Haïti baigne dans une société patriarcale. L’homme mâle y est supérieur. On y cultive des idées, des tabous, des stéréotypes dans nos chansons et nos proverbes qui ne font qu’inscrire la femme dans une situation dévalorisante. Au niveau socio-économique, il faut voir la condition de la femme selon le paramètre de sa classe sociale pour saisir la situation globale de la femme. Elle est marginalisée dans la structure sociétale si elle est une mère de famille célibataire, par exemple. Puis marginalisée au niveau intellectuel par un hermétisme d’accès à l’éducation, à la compréhension de ses droits et à sa valorisation. Les femme ignorent qu’elles ont droit d’accéder aux valeurs de dignité, d’égalité et de liberté, des valeurs fondatrices de la Déclaration universelle des droits de la personne. En Haïti, on pense que ce n’est pas nécessaire que les femmes le sachent car elles forment un groupe marginalisé à deux niveaux : comme citoyenne, et comme femme. Malgré une semblant de décantation entre les classes sociales, une femme vivant dans une société patriarcale et machiste comme la nôtre devra toujours s’imposer par une lutte perpétuelle pour se faire respecter et faire valoir ses droits. Et ce, dès son plus jeune âge.

Comment êtes-vous perçue en Haïti ?
Comme une sorte de rebelle. J’ai commencé à 17 ans à faire de la politique.
J’ai toujours été engagée auprès des personnes de quartiers défavorisés pour leur apprendre à lire et à écrire. Pour moi, ce ne sont pas des privilèges mais des droits. En Haïti, on a tendance à les limiter à un privilège. À l’université, j’ai commencé à prendre conscience de la problématique légale des femmes par un article pénal qui évoque que le meurtre de la femme par son époux lors d’adultère est excusable. Cela m’a renversée ! On a pourtant la ratification de la convention CEDEF
sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (1979), et la convention Belém do Pará – Convention interaméricaine sur la prévention, la sanction et l’élimination de la violence contre la femme (1994). C’est comme si la femme était réduite à un objet, quelque soit votre niveau intellectuel, on vous y cantonne. On vous demande ce que vous avez réalisé, si vous êtes mariée. C’est la division sexuelle ! Les études réalisées par une femme ne comptent pas dans le droit par rapport à son statut. 

Le droit à l’identité est le premier droit humain. Une femme n’est pas forcée de prendre le nom de son mari. Je suis mariée mais je ne prends pas son nom. En Haïti, une femme non mariée n’existe pas. Seul le poids de l’époux importe. C’est toute une conception de socialisation qui passe à travers ces canaux de transmission de valeurs. Il faut maintenir la femme au statu quo, qu’importe son niveau intellectuel ! Être désignée féministe est comme une infraction. Il faut oser avancer. Avant d’être homme ou femme, on est une personne. Aucun sexe n’est supérieur à l’autre. On ne peut constituer une société qui cause tant de préjudices à la femme.

Quel sera le plus grand défi PASSREL pour atteindre les 60 000 cibles ?
Confronter la situation macroéconomique et socio-politique sera un défi par rapport à la zone d’intervention de la Commune de Croix-des-Bouquets. Mais il s’agira à terme d’une motivation, d’une satisfaction d’avoir réalisé quelque chose pour le mieux-être des femmes.

Quel espoir insufflera PASSREL en Haïti ?
Je souhaite que le projet arrive jusqu’aux oublié·e·s, aux laissé·e·s pour-compte. Auprès de celles et ceux qui n’ont pas accès à la santé. On ne peut vivre sa vie sans avoir la santé, sans être une fois passé par une clinique. PASSREL s’adresse aussi aux adolescentes, les femmes de demain. Par son innovation de quota d’au moins 30 %, il faudra voir comment influencer les milieux décisionnaires. 

Face à l’enjeu des mères célibataires qui n’ont aucune possibilité d’aller à l’école, il faut qu’elles puissent prendre des précautions pour ne pas être enceintes contre leur gré. Cela leur cause des préjudices au présent et hypothèque leur futur. PASSREL viendra aussi auprès de cibles dénuées de moyens pour accéder à des soins de santé satisfaisants qui tiennent compte de la personne dans son intégralité. Telle est la beauté du projet. Et ces passerelles entre le respect des droits de la personne et la santé… 

Grand concours de la 32e édition de La Dictée P.G.L.

Il est maintenant temps d’annoncer les gagnant(e)s du concours RAPporte ton message!

Cette année, nous avons reçu plus de 130 textes dans le cadre du concours. Un jury de sélection présidé par Webster a analysé et évalué tous les textes reçus.

Des élèves de 5année, 6e année, 1re secondaire (7e année) et 2e secondaire (8e année) à travers le Canada, mais également au Maroc ont laissé aller leur créativité afin de contribuer à la production du prochain succès hip-hop!

Tel qu’annoncé, le texte gagnant sera mis en chanson et musique par notre ambassadeur, Webster et diffusé au grand public. Son texte a également été présenté lors de la Grande finale internationale le 21 mai dernier. L’auteur(e) du texte coup de cœur se mérite également une bourse de 500 $.

Sans plus attendre, voici le nom de la gagnante :

Agathe Pomarez de l’École Paul-Bruchési à Montréal

Nous vous invitons à lire le texte d’Agathe « L’injustice » en cliquant ici.

 

Prix et bourses

Afin de récompenser votre participation au concours, nous avons également procédé à un tirage au sort parmi les élèves et les enseignant(e)s participant(e)s.

Résultats du tirage au sort pour les élèves :

  • Hugo et Gisèle de l’École Madeleine-de-Roybon – Bourse de 200 $
  • Emma Rodriguez de l’École Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle – Bourse de 200 $
  • Sarah Roy et Noémie Dumas Denis de l’École Maurice-L-Duplessis – Bourse de 200 $
  • Nils Dusson de l’École Paul-Bruchési – Bourse de 200 $
  • Victor Bodet et Alexis Lamonde de l’Académie Saint-Louis – Bourse de 200 $

 

Résultats du tirage au sort pour souligner la participation des enseignant(e)s :

  • Ariane Dubé-Breault de l’École Saint-Donat – Un iPad
  • Brigitte Lapointe de l’École Anne-Hébert – Un certificat-cadeau de 50 $ Renaud-Bray
  • Flore Mapa de l’École Mille-Île – Un certificat-cadeau de 50 $ Renaud-Bray
  • Pauline Poison de l’École primaire Marguerite-Bourgeoys – Un certificat-cadeau de 50 $ Renaud-Bray

 

Félicitations à toutes et tous les participant(e)s, vous pouvez être fiers de ce que vous avez accompli, la délibération n’a pas été facile!

 

Vous souhaitez voir ou revoir l’émission de la Grande finale internationale?
Cliquez sur la rediffusion ci-dessous pour y accéder. Vous pouvez vous rendre à 4:04:25 pour le segment avec Webster et Agathe. 

Une 32e édition sous le thème d’une éducation de qualité égalitaire et inclusive

La Grande finale internationale de La Dictée P.G.L. a été l’événement phare de cette 32e édition du projet. Le 21 mai dernier, 75 jeunes de 5e et 6e année venus de partout au Canada, des États-Unis, du Maroc, du Sénégal et de la Côte d’Ivoire se sont réunis pour prendre part aux festivités.

La dictée la plus attendue de l’année a été suivie de près par des milliers de personnes des deux côtés de l’Atlantique. Les finalistes se sont efforcés de faire le moins de fautes possible lors de cette épreuve sous le thème de l’édition, « Cultivons un monde juste et égalitaire! ». Le texte de cette année, « Éducation universelle », a été rédigé par Annie Bacon, autrice jeunesse québécoise.

Ce grand rendez-vous de la Francophonie s’est déroulé à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Animé par François-Étienne Paré, porte-parole de la Fondation Paul Gérin-Lajoie et directeur artistique de la Ligue nationale d’improvisation, l’événement a été diffusé en direct sur les ondes de MAtv. Occupant le rôle de lecteur de la dictée, Bernard Drainville, ministre de l’Éducation du Québec, mentionne :

« En tant que ministre de l’Éducation, je sais à quel point la langue française, c’est important et pour bien la maîtriser, il faut avant tout savoir l’écrire. C’est beau de voir nos jeunes participer en si grand nombre à cet exercice. »

La Fondation Paul Gérin-Lajoie est fière d’annoncer les six grandes gagnantes :

Dans la catégorie Classes francophones :
  • 1re place :  Sophie Wilson de l’École Pierre-Elliot-Trudeau à Toronto
  • 2e place : Léonie Motard de l’Externat Saint-Jean-Berchmans à Québec
  • 3e place : Sara Bernier de l’École du Sacré-Coeur à Sherbrooke
Dans la catégorie Classes français langue seconde :
  • 1re place :  Olivia Metrakos de l’École TFS (Toronto French School) à Toronto
  • 2e place : Hafsa Benamer de l’École GreenWood School à Casablanca, Maroc
  • 3e place : Charlotte Tournoux de l’École The Study à Montréal

Cette année, les bourses d’études des lauréat(e)s de la Grande finale internationale du primaire et de la Grande finale nationale du secondaire ont été généreusement offertes par la Caisse du Complexe Desjardins .

Enfin, cette 32e édition de la Grande finale internationale de La Dictée P.G.L. fut un événement marquant pour nos jeunes finalistes. Ils ont pu faire des rencontres inoubliables et vivre une expérience hors du commun qui restera gravée dans leur mémoire. Au-delà d’une compétition, ce fut un moment de partage et de fierté, il s’agit d’un événement rassembleur qui a créé un fort sentiment d’appartenance.

L’équipe de La Dictée P.G.L. remercie chaleureusement tout le personnel du milieu scolaire, les parents et les élèves qui ont pris part au projet cette année et sans qui sa réussite ne serait pas possible!

Si vous désirez voir ou revoir la 32e édition de la Grande finale internationale de La Dictée P.G.L., l’émission sera en rediffusion sur les ondes de MAtv le 26 mai à 12 h 30, le 27 mai à 9 h et le 28 mai à 16 h 30. Elle est également disponible sur la page Facebook de La Dictée P.G.L. ainsi que sur la chaîne YouTube de la Fondation.

Pierre-Olivier Zappa sur le pouvoir des dictées pour comprendre le monde

La seconde édition de La Dictée P.G.L. de la Francophonie se profile déjà en Mars! Dans quelques semaines, cette compétition toute dédiée aux entreprises d’ici se traduira par l’épreuve du français sans faute! Une mobilisation en deux étapes, d’abord le mercredi 15 mars en ligne. Puis le mercredi 22 mars, en formule présentielle pour la première Grande finale de La Dictée P.G.L. de la Francophonie à HEC Montréal lors d’un cocktail dinatoire.

Pour mobiliser des centaines de personnes et d’entreprises, qui de mieux qu’un spécialiste des questions économiques, qui plus est épris de la langue française? C’est un honneur pour la Fondation Paul Gérin-Lajoie de compter sur l’engagement de Pierre-Olivier Zappa. Journaliste présentateur (économie, finance et enquête), chef d’antenne du TVA 22H, et à la barre de l’émission « À vos affaires » sur LCN et QUB, il exprime avec conviction son engouement et se tourne vers le monde des affaires pour oser le défi :

« Je suis honoré de participer à cette initiative importante qui vise à promouvoir la langue française. La Dictée P.G.L. de la Francophonie est une occasion unique de sensibiliser les acteurs économiques à l’importance de la langue française et de les inciter à la pratiquer. La défense de la langue m’interpelle car elle est au cœur de notre spécificité. Elle est un atout économique et culturel pour les entreprises du Québec. Elle nous permet de nous différencier sur les marchés, d’attirer des talents locaux et internationaux et de nous connecter avec les consommateurs de la communauté francophone. 

Quelle meilleure façon de promouvoir le français en entreprise que par le biais d’une dictée ! Depuis ma première année d’école, j’ai eu des professeurs qui ont toujours cru au pouvoir des dictées pour aider à comprendre le monde, structurer notre pensée et maîtriser la langue. Elles favorisent l’écoute, la concentration et la mémoire à long terme.

Une dictée a aussi le pouvoir d’améliorer le quotidien de nos jeunes !
En participant à La Dictée P.G.L. de la Francophonie, vous faites un geste concret pour contribuer à la promotion de la langue et pour soutenir les écoles défavorisées. C’est un geste simple qui peut avoir un impact important dans la vie de nos jeunes. N’hésitez pas à vous inscrire ! »

Pierre-Olivier Zappa

Ce défi lancé à une centaine d’entreprises est l’occasion de témoigner de la richesse et du rayonnement de notre langue. Les participantes et participants peuvent également contribuer avec un don. La moitié du montant amassé permettra d’appuyer financièrement des écoles défavorisées d’ici et l’autre moitié servira au développement des outils pédagogiques et aux activités de La Dictée P.G.L. dans nos écoles.

Ce grand rendez-vous s’inscrit dans la Francofête de l’OQLF, une occasion de célébrer ensemble la Journée québécoise de la francophonie canadienne.

L’édition 2023 de La Dictée P.G.L. de la Francophonie est soutenue par nos précieux partenaires : l’Office québécois de la langue française, le Centre de la Francophonie des Amériques, le Conseil du patronat du Québec,
HEC
Montréal et Québecor.

Répondez à l’appel du porte-parole de La Dictée P.G.L. de la Francophonie et inscrivez votre entreprise dès maintenant en cliquant ici !

Pour en savoir plus sur cette mobilisation!

Assemblée générale annuelle (AGA) le mercredi 25 janvier 2023 📌

L’assemblée générale annuelle (AGA) de la Fondation Paul Gérin-Lajoie se tiendra le mercredi 25 janvier 2023 de 11h00 à 13h00. Cette assemblée couvrira les activités de la Fondation pour l’année 2021-2022.

Cette année, une formule hybride virtuelle / présentielle sera en place afin de faciliter la participation d’un plus grand nombre de personnes. Vous pourrez donc assister en ligne ou vous rendre en personne à l’assemblée générale annuelle qui se tiendra à l’ENAP au 4750, avenue Henri-Julien, salle 4045
(Métro Mont-Royal)

En seconde partie de l’assemblée, une séance de discussion réunira les responsables de projets et partenaires terrains sur les approches innovantes de la Fondation en matière d’éducation au Mali, Rwanda, en République démocratique du Congo, et au Burundi, notamment d’éducation des filles en situation d’urgence.

Nous serions enchantés de vous compter parmi les participant.e.s à cette assemblée en confirmant votre présence à l’adresse sgravel@fondationpgl.ca avant le 16 janvier 2023.

Veuillez s’il vous plaît préciser si vous vous joignez à l’assemblée en mode virtuel ou si vous serez présent en personne à l’ENAP. Vous recevrez ainsi dans les jours qui précèdent l’assemblée la documentation pertinente, ainsi que le lien pour vous joindre à la vidéoconférence.

François Gérin-Lajoie
Président du conseil d’administration

Faites un don en faveur de l’éducation ! ✨

C’est grâce au généreux soutien de donatrices et donateurs comme vous que la Fondation Paul Gérin-Lajoie encourage des jeunes à travers le monde à devenir des actrices et acteurs de changement. 

Vos dons et votre engagement sont essentiels à la réussite de notre mission et à la lutte pour l’accès de toutes et tous à une éducation de qualité.  

Dans la dernière année, vos dons ont permis de redonner aux filles et aux adolescentes vivant dans les camps de réfugié.e.s de Kinama (Burundi), de Lusenda (République démocratique du Congo) et de Mahama (Rwanda) le choix de leur propre éducation.

Grâce à votre soutien, Justine a réintégré l’école dans un cadre sécuritaire, inclusif et égalitaire. Contribuez à donner à des centaines de filles à travers le monde les moyens de rêver d’un avenir plus juste.

Grand concours RAPPORTE TON MESSAGE

 

 

 

 

Webster, rappeur passionné d’écriture et d’histoire, et l’équipe de
La Dictée P.G.L. vous invitent au Grand concours d’écriture d’un texte de chanson!

Un concours d’écriture ludique, créatif et stimulant pour les élèves de 5e et 6e année du primaire et les élèves du 1er cycle du secondaire (7e et 8e année) des écoles participantes à la 32e édition de La Dictée P.G.L.!

Avec son slogan Cultivons un monde juste et égalitaire, l’édition 2022-2023 amène les jeunes à comprendre pourquoi et comment agir pour rendre l’éducation de qualité égalitaire, équitable et inclusive.

Le concours offre aux jeunes l’opportunité de s’amuser avec la langue française, de mettre en valeur leur créativité, mais aussi de mettre de l’avant leur engagement pour un monde juste et égalitaire. Il leur donne l’occasion de s’exprimer en rédigeant un texte à travers l’angle d’écriture d’un texte de chanson de rap. Par l’utilisation créative du français, ils pourront formuler leur propre message pour sensibiliser leur entourage aux concepts d’égalité, d’équité et d’inclusion qu’ils auront découvert et abordé dans les activités du magazine.

L’artiste hip-hop, musicien et écrivain Webster, ambassadeur de l’édition, guidera les jeunes à travers les techniques et procédés littéraires propres à ce style d’écriture : l’agencement habile des mots, des sons et de leurs idées pour un rendu proche d’un poème. Webster a animé de nombreux ateliers d’écriture dans les écoles au Canada, du primaire au cégep. Il a l’habitude d’adapter son discours et sa pédagogie en fonction du niveau des jeunes à qui il s’adresse. Des outils de rédaction à destination des élèves, mais aussi des enseignantes et enseignants seront développés pour aider les jeunes à construire leur texte, suivre la méthode de Webster et respecter la grille d’évaluation.

Des prix à gagner!

Le texte sélectionné sera mis en chanson et en musique par Webster et diffusé dans toutes les écoles du pays! D’autres prix de participation sont à gagner pour les élèves et les enseignants et enseignantes qui font participer leur classe.

Vos élèves écriront peut-être le nouveau succès musical chanté dans toutes les écoles d’ici et d’ailleurs!

Plus de détails seront envoyés prochainement aux écoles inscrites à la 32e édition de La Dictée P.G.L.

🎙️ On parle de la Fondation Paul Gérin-Lajoie !

La journaliste indépendante Miriane Demers-Lemay raconte les parcours de Clémence Dossougouin et Yvette Akakpo, deux entrepreneures béninoises qui font face à la crise de l’insécurité alimentaire, pour le magazine La Gazette des Femmes.

Ce reportage a été réalisé grâce à une bourse de journalisme indépendant de la Fondation Paul Gérin-Lajoie dans le cadre du projet « Initiative pour la co-construction d’un savoir commun Sud-Sud et Sud-Nord sur l’entrepreneuriat féminin » (ISEF), réalisé grâce au soutien du ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec.

Découvrez le reportage ici !