Projet d’autonomisation des femmes rurales au Bénin (AFR-Bénin)

Type de projet

Universel

Nom de ce projet

Projet d’autonomisation des femmes rurales au Bénin (AFR-Bénin)

Nom du partenaire québécois

SAJE Accompagnateur d’entrepreneurs

Nom du partenaire du Sud

Association des personnes rénovatrices de technologies traditionnelles (APRETECTRA)

Pays

Bénin

Nom de la communauté

Communes de Comé et de Grand-Popo

Secteur d’activité

Activités génératrices de revenus

Objectifs du projet

Autonomisation socio-économique accrue des femmes de 10 villages ruraux

Résumé des activités réalisées lors du séjour terrain

Volet 1 : Renforcement du pouvoir économique des femmes
-Développer des outils pour la formation entrepreneuriale et l’alphabétisation
-Dispenser des ateliers d’alphabétisation axée sur l’entrepreneuriat
-Dispenser des formations en gestion entrepreneuriale et gestion financière
-Offrir des ateliers d’accompagnement en démarrage d’entreprises et de coopératives
-Accompagner des femmes dans l’élaboration de leur plan d’affaires
-Négocier de l’accès à du microcrédit pour les femmes avec la CEFIM (Caisse d’épargne et de financement mutuelle)
-Équiper des femmes pour la réalisation de leurs AGR / entreprises
-Réaliser des visites d’appui et de suivi des AGR et entreprises des femmesVolet 2 : Renforcement du pouvoir sociopolitique des femmes
-Développer des outils pédagogiques sur les différentes thématiques de formation
-Former des femmes relais communautaires sur le leadership féminin, les droits et devoirs civiques, l’ÉFH, l’engagement citoyen, etc.
-Dispenser des ateliers dans les 10 villages sur le leadership féminin, les droits et devoirs civiques, l’ÉFH, l’engagement citoyen, etc.
-Créer des groupes de discussion sur les rôles et rapports hommes/femmes et animés dans les villages (groupes non mixtes H/F) et organiser des rencontres d’échange entre les groupes d’hommes et les groupes de femmes
-Réaliser des séances de plaidoyer auprès des mairies, chefs de village ou autres autorités sur la place des femmes dans la vie publique
-Organiser une campagne sur le leadership féminin par les femmes des villages

Nombre de participants

8 stagiaires et 1 personne accompagnatrice

Séjour à l’étranger

75 jours : 5 juin 2017 au 18 août 2017

Formation pré- départ

Octobre 2016 à mai 2017 (environ une fin de semaine par mois)

Financement

Le programme QSF couvre les frais de formation, d’encadrement, de transport et d’hébergement lors du séjour à l’étranger. Les stagiaires doivent réaliser des activités de financement de 1800 $.

Conditions générales d’admissibilité des stagiaires

-Être âgé de 18 ans (au début du séjour terrain) à 35 ans (à la date limite d’inscription du stage)

-Avoir son domicile permanent au Québec depuis au moins un an

-Posséder le statut de citoyen canadien ou de résident permanent

-Ne pas avoir participé à un stage similaire de plus de six semaines

Conditions particulières d’admissibilité des stagiaires

Aucune

Date limite d’inscription des stagiaires

30 septembre 2016

Date limite d’inscription pour le poste d’accompagnement

23 septembre 2016

Pour poser votre candidature, votre dossier doit être soumis directement sur notre site internet à l’adresse suivante : https://fondationpgl.ca/accueil/impliquez-vous/quebec-sans-frontieres/inscription/

Il est important de remplir le formulaire en ligne et d’y joindre une copie de votre curriculum vitae.

Veuillez prendre note que les journées de sélection pour les stagiaires QSF se feront probablement le samedi 15 octobre ou le dimanche 16 octobre.

*Seules les personnes retenues pour les entrevues seront contactées.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec nous au 514 288-3888, poste 221, ou à qsf@fondationpgl.ca

Madame Micarme Soifaite – Portrait d’un partenaire du PCV-Haïti

MicarmeSoifaiteMadame Micarme Soifaite – EFACAP des Gonaïves

Depuis de nombreuses années, le PCV appuie des partenaires partout en Haïti. Une des composantes importantes du programme repose sur l’appui à l’éducation, et dans ce cadre, le PCV a appuyé des Écoles Fondamentales d’Application et Centres d’Appui Pédagogique, plus communément connues sous le nom d’EFACAP. L’EFACAP est un centre éducatif-ressources qui offre de la formation continue aux enseignants. Au sein de ces ÉFACAP et avec l’appui du PCV, plus d’une vingtaine de coopératives scolaires ont vu le jour. Les coopératives, regroupant parents-enseignants-élèves, ont développé un programme appelant à l’esprit entrepreneurial de ses membres afin d’organiser des activités génératrices de revenus. Sous la direction de Madame Micarme Soifaite, la coopérative scolaire de l’EFACAP des Gonaïves a fait un travail remarquable. Voici le portrait d’une femme d’exception.

Madame Soifaite est née à Desdunes, à 150km au nord de Port-au-Prince. Mis à part son travail à la tête de l’EFACAP des Gonaïves et des études supérieures en droit, madame Soifaite ne chôme pas.  Femme de pasteur, elle oeuvre au côté de son époux à la paroisse locale et s’occupe des gens dans le besoin.

C’est en travaillant comme encadreuse pédagogique et communautaire dans les écoles rurales qu’elle a découvert le monde des coopératives scolaires pour la première fois. Les choses se sont bousculées lorsqu’en 2008, les ouragans Anna et Ike ont laissé des séquelles dévastatrices dans le pays, autant sur le plan humain qu’environnemental. Madame Soifaite a alors constaté un besoin encore plus urgent d’améliorer l’accès à l’école pour former des gens capables de développer des sources alternatives de revenus afin de ne plus dépendre uniquement de l’agriculture comme moyen de subsistance. Selon elle, il n’y avait qu’une solution, la création de coopératives scolaires.

Cette mère de trois enfants fait remarquer qu’à la campagne, il y a beaucoup d’enfants dans chaque lakou (lieu de résidence d’une famille). Puisque ce sont des milieux défavorisés, les parents des enfants qui fréquentent l’école arrivent difficilement à payer les frais d’écolage. Les enseignants qui ne touchent presque rien font ce qu’ils peuvent, mais le cercle vicieux de la pauvreté se perpétue et les moyens sont limités.

Elle est donc allée chercher de l’aide pour créer les coopératives scolaires. Elle a entamé des discussions avec la direction départementale responsable de l’éducation pour que son projet voie le jour et a tissé des liens et formé une équipe mobilisée. Men anpil chay pa lou (beaucoup de mains ensemble allègent la charge) comme elle aime le souligner. Plus tard, le PCV est venu appuyer ces coopératives. Monsieur Joseph Mathieu, directeur départemental du Ministère de l’Éducation en Artibonite, et madame Soifaite reconnaissent aujourd’hui l’appui du PCV au développement des coopératives scolaires, à la formation du personnel enseignant et au développement de matériel de qualité. Il mentionne également l’apport du PCV au niveau ministériel où il y a actuellement des discussions pour reproduire ce modèle ailleurs dans le pays.

Monsieur Mathieu explique le rendement positif du projet par la rigueur du travail de madame Soifaite et la confiance que les membres ont en leurs propres capacités. Il mentionne également l’intégrité de ses membres et leur compétence à bien administrer et gérer les finances de la coopérative scolaire.

« Je vois de l’avenir pour les coopératives scolaires, car on peut déjà voir l’esprit entrepreneurial germer chez ses membres. Il y a aussi un esprit de solidarité et d’équipe qui s’est développé. Imaginez dans 10, 15, 20 ans ! Si les jeunes continuent cette activité-là, il y a de l’espoir. Je crois en l’avenir de mon pays.  Mon pays ne doit pas mourir, c’est pourquoi je travaille si fort pour lui. » conclue madame Soifaite.

Des stagiaires QSF au Bénin

QSFbeninLe groupe de neuf stagiaires du Projet d’appui nutritionnel scolaire et communautaire (PANSC) du programme Québec sans frontières de la Fondation Paul Gérin-Lajoie est arrivé le 18 mai dernier à Comé, au Bénin, pour un stage de près de trois mois en nutrition. Les neuf jeunes femmes ont reçu un accueil chaleureux de l’APRETECTRA, partenaire local de la Fondation, ainsi que des familles béninoises chez lesquelles elles vivront durant leur séjour. C’est une chance pour le groupe de pouvoir ainsi plonger dans la culture béninoise à travers cette expérience d’échange interculturel.

Déjà, les activités de stage sont mises en branle et vont bon train. Durant la première semaine, les stagiaires ont rencontré les comités de suivi nutritionnel des écoles de Comé et de Grand-Popo, comités regroupant enseignants, parents d’élèves et cuisinières des cantines scolaires, afin d’évaluer leurs besoins et attentes. Ces comités recevront des formations nutritionnelles, notamment sur la problématique du double fardeau nutritionnel, soit la coexistence des maladies et problèmes de santé liés à la « surnutrition » (obésité, diabète, hypertension) et à la « sous-nutrition » (carences en vitamines et en micronutriments, insuffisance énergétique), problématique frappant plusieurs pays africains.

En préparation à ces formations, les stagiaires ont créé différents outils pédagogiques qui faciliteront le processus d’apprentissage lors de leurs ateliers. Le groupe a ensuite testé ces outils à l’orphelinat de Comé, où les enfants ont participé avec beaucoup d’enthousiasme aux activités. Finalement, les stagiaires ont fort apprécié les rencontres avec deux nutritionnistes du pays qui les ont grandement éclairés sur les enjeux nutritionnels locaux. Le groupe est maintenant impatient de commencer les activités concrètes dans les écoles, qui seront suivies des activités de sensibilisation au double fardeau nutritionnel dans les villages, notamment auprès des mères de jeunes enfants.

Pour suivre les stagiaires dans leurs aventures béninoises : Cliquez ici

Découvrez le texte de La Grande finale internationale de La Dictée P.G.L. 2016

Géronimo Stilton lors de La Grande finale internationale 2016 Photo : Jean Rodier
Géronimo Stilton lors de La Grande finale internationale 2016
Photo : Jean Rodier

Pour sa 25e édition, La Dictée P.G.L. a eu l’honneur de voir son texte de la Grande finale internationale rédigé par l’un des plus célèbres personnages jeunesse : Geromino Stilton!

Les 69 finalistes ont pu relever le défi de cette ultime dictée lue par Sophie Faucher, comédienne, lors de la Grande finale internationale du 29 mai dernier au Campus Notre-Dame-de-Foy


L’entraide

Aussitôt descendus de l’autocar, nous avons pris connaissance de l’impitoyable sévérité avec laquelle le nord de l’île* avait été frappé. Nous nous sommes alors précipités pour aider les quelques habitants qui s’y trouvaient. Malgré la gravité de la situation, il était possible de discerner un espoir obstiné dans le regard des membres de l’équipe de sauvetage venue** en aide aux sinistrés. On décelait chez eux une générosité sans bornes***, un courage indomptable et une grande détermination.

Adultes et enfants issus de milieux différents s’entraidaient sans relâche afin de nettoyer les rives du fleuve et de consolider les digues. Le niveau de l’eau avait grimpé et nous devions, à l’aide de lourds sacs de terre, construire un barrage le long du cours d’eau. Soudain, la pluie a cessé et je me suis mis à fredonner une chanson. Tous l’ont reprise à l’unisson! J’ai tout à coup réalisé avec satisfaction que, même si aucun d’entre nous n’était une super-souris****, ces héroïnes de bandes dessinées, tous ensemble nous formions une équipe solidaire de sauveteurs exceptionnels.

* Note au jury : Accepter aussi ile (nouvelle orthographe).

**Note au jury : Accepter aussi venus.

*** Note au jury : Accepter aussi borne.

**** Note au jury : Accepter aussi supersouris (nouvelle orthographe).

 

Nombre de mots : 173

Cérémonie de diplomation du PADIA

Le 12 mai 2016, 387 jeunes apprenants et apprenantes de la première cohorte du Projet d’appui au développement et à l’intégration de l’apprentissage (PADIA) mis en œuvre par la Fondation Paul Gérin-Lajoie ont reçu leur certificat de formation lors d’une cérémonie officielle.

Après plus de 14 mois de formation à la pratique d’un métier porteur, les jeunes apprenants et apprenantes du PADIA ont pris part aux épreuves évaluatives menant à la diplomation. La Fondation Paul Gérin-Lajoie est fière d’annoncer que 407 jeunes qui se sont présentés aux épreuves, 387 jeunes ont réussi leurs évaluations, soit un taux de succès de 95%. La cérémonie de diplomation a eu lieu à Fatick le 12 mai avec la présence du ministre de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat, Monsieur Mamadou Talla. Lors de l’événement, le projet remit des trousses à outils adaptés aux métiers aux jeunes certifiés.

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Le PADIA est mis en œuvre depuis janvier 2013 par la Fondation Paul Gérin-Lajoie en partenariat avec le Ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat (MFPAA) grâce à un appui financier d’Affaires mondiales Canada (AMC). Le projet vise à former et insérer professionnellement 1000 jeunes filles et garçons dans les régions de Thiès, Fatick, Kaolack et Diourbel grâce à une formation technique pour la pratique d’un métier porteur tel que la couture traditionnelle, la teinture, le froid domestique & climatisation, la menuiserie métallique, la menuiserie bois, la transformation agroalimentaire, la transformation halieutique, le maraîchage et la mécanique moteur. Les formations techniques de 14 mois se font au sein d’unités de production informelles sous l’égide de 100 maîtres artisans et de maîtresses artisanes. En parallèle, les jeunes reçoivent des appuis en insertion professionnelle qui incluent notamment des connaissances en recherche d’emploi, en démarrage d’entreprise, en gestion de microcrédit et les aptitudes d’un bon entrepreneur. De plus, les jeunes diplômés peuvent faire la demande d’un microcrédit en vue de démarrer leur propre entreprise.

En juin 2016, la deuxième cohorte commencera sa formation. Ce sont 600 jeunes filles et garçons qui ont été recrutés dans toutes les régions. Quatre nouveaux métiers leur sont offerts, soit la restauration, l’aviculture, l’embouche et la coiffure. Le PADIA est persuadé que la formation se fera avec autant de succès que pour la première cohorte.

Un résultat inespéré lors de la mission sud-nord du PCV-Haïti

Du 12 avril au 2 mai dernier, deux partenaires du Programme de Coopération Volontaire (PCV) – Haïti ont participé à un échange sud-nord entre Haïti et le Canada.  Il s’agit de l’Association des Jeunes Entrepreneurs agricoles du Nord (JEAN) et de la Coopérative Agro-Artisanale des Femmes en Action (COOPAAFA).  Ces deux organismes haïtiens, un œuvrant dans le domaine de la production agricole échange (apiculture, élevage et production maraîchère), et l’autre, dans la transformation et la distribution de produits alimentaires et artisanaux, ont eu l’occasion de visiter différentes institutions canadiennes dans le domaine de l’agroalimentaire.  En tout, six ressortissants haïtiens se sont rendus au Canada, quatre membres de JEAN et deux de la COOPAAFA.  Chacun des deux organismes-partenaires affirme avoir bénéficié de cet échange.téléchargement

« La mission sud-nord a été très intéressante et enrichissante, affirme Thélémaque Wilfrid, président de JEAN et participant à cet échange. Quand on entend quelque chose, mais qu’on ne le voit pas, il y a une différence entre la théorie et la pratique.  Cet échange a permis de voir les choses et de projeter d’autres images par rapport à ce que l’on voit en Haïti. »  Madame Geoffrin St-Louis, présidente de la COOPAAFA, abonde dans le même sens: « Si quelqu’un devait venir et s’asseoir pendant 5 ou 6 mois pour nous en parler, on n’aurait pas pu apprendre tout ça, parce que le fait de voir, le fait de le vivre, ça reste.  Quand tu es assis et que tu écoutes, il y a beaucoup de choses qui se perdent, mais lorsque la mémoire vit quelque chose, que le cerveau vit quelque chose, ça reste et ça reste pour longtemps. »

Souvenirs marquants

Durant ce séjour d’une dizaine de jours, ils ont eu la chance de visiter, entre autres, des fermes, des serres, des coopératives, usines de transformation, des écoles et l’Union des Producteurs agricoles (UPA) au Québec.  Lors de leur tournée dans la province, ils ont eu la chance de rencontrer Patrick Dilmé, un professeur d’artisanat au Centre de formation agricole de Mirabel.  Ce professeur, d’origine haïtienne, habite au Canada depuis plus de quarante ans et enseigne au centre depuis maintenant 27 ans.  M. Wilfrid était très enthousiaste de sa rencontre, tout comme madame St-Louis d’ailleurs.  Tous deux ont un excellent souvenir de lui et se rappellent avec précision les paroles de cet enseignant très respecté qui leur ont expliqué la règle des 3PA pour réussir dans ce qu’on entreprend : Passion, Précaution ou Prévenir, Planifier et Agir.  « J’ai appris ça et c’est rester dans ma mémoire, » dit le président de JEAN.

Haïti, c’est aussi le pays de la chèvre, ou du cabri.  Ce n’est pas une surprise si la Chèvrerie des Mines, près de la ville de Québec, fut un moment fort de leur voyage.  L’élevage du cabri est très différent dans la Perle des Antilles.  Les animaux se promènent librement dans les champs.  La nature suit son cours.  Une fois à maturité, la chèvre est abattue pour consommation.  Elmise Jean-Jacques du groupe JEAN nous raconte son expérience : « J’ai appris beaucoup de choses à la chèvrerie.  Ils ne sont pas de la même espèce que ceux que nous avons ici.  Nous avons appris sur la production et la gestation. Nous avons reçu de l’information quant à savoir comment mettre les chèvres en chaleur ».  Madame Jean-Jacques compte les mettre en pratique, petit à petit, à mesure que ses moyens le lui permettront.

Un résultat inattendu

Les partenaires du PCV-Haïti sont  repartis avec de nouvelles idées. Ils essaieront maintenant de les mettre en pratique. De plus, un partenariat s’est formé à la suite de la rencontre des deux organisations haïtiennes.  « Il y a des produits qui nous intéressent dans le nord.  JEAN va se charger de faire la recherche et de nous les acheminer.  Prenons par exemple le chocolat.  Nous savons que le meilleur chocolat vient du nord. En échange, JEAN va se charger de faire la promotion des produits de la COOPAAFA, dont le curcuma, les huiles essentielles et la semoule de petit mil (des produits qui sont peu ou pas disponibles dans le nord).»  « On ne s’attendait pas à ça, dit le président de JEAN, mais c’est une excellente nouvelle initiative pour stimuler les échanges à l’intérieur du même pays ».

La mission sud-nord a ouvert des portes sur de nouvelles manières de concevoir les choses.  Haïti ne changera pas du jour au lendemain, mais il y a espoir que les choses soient meilleures. Cette mission a également contribué à créer une relation d’affaires entre deux organismes du même pays.  Comme le dit si bien Thélémaque Wilfrid: « Pour aller de l’avant, il faut travailler ensemble, main dans la main ».  Il semblerait que cela ait bien débuté!

Horaire des diffusions de l’émission de la Grande finale internationale de La Dictée P.G.L.

A79T4388 J RodierDescription de l’émission:

Après plusieurs mois de compétition dans les différentes provinces du Canada, aux États-Unis et aussi en Afrique, voici la Grande finale internationale de La Dictée P.G.L. Une présentation de la Dictée P.G.L. et des finalistes, de leur parcours, lecture de l’ultime dictée et annonce des grands gagnants.

 

Canal savoir:

  • Lundi 12 septembre 2016 à 11h00
  • Mardi 13 septembre 2016 à 12h00 (minuit)
  • Jeudi 15 septembre 2016 à 15h00
  • Vendredi 16 septembre 2016 à 5h30
  • Dimanche 18 septembre 2016 à 8h00
  • Lundi 7 novembre 2016 à 11h00
  • Mardi 8 novembre 2016 à 12h00 (minuit)
  • Jeudi 10 novembre 2016 à 15h00
  • Vendredi 11 novembre 2016 à 5h30
  • Dimanche 13 novembre 2016 à 8h00
  • Lundi 28 novembre 2016 à 11h00
  • Mardi 29 novembre 2016 à 12h00 (minuit)
  • Jeudi 1er décembre 2016 à 15h00
  • Vendredi 2 décembre 2016 à 5h30
  • Dimanche 4 décembre 2016 à 8h00

La Fondation dévoile les noms des grands champions de la 25e édition de Grande finale internationale de La Dictée P.G.L.

MONTRÉAL, le 30 mai 2016 – C’est hier qu’avait lieu la Grande finale internationale de La Dictée P.G.L. organisée par la Fondation Paul Gérin-Lajoie et présentée par Desjardins. Cette 25e édition se déroulait cette année sous le thème Vivre ensemble la diversité. À l’issue de cette épreuve qui se déroulait au Campus Notre-Dame-de-Foy à Saint-Augustin-de-Desmaures, près de Québec, en présence de Sophie Morin, directrice principale Coopération, Affaire et Responsabilité sociale du Mouvement Desjardins, d’une représentante du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur et de Guy Dufour, directeur général du campus Notre-Dame-de-Foy, la Fondation a annoncé les grands gagnants 2016 :

  • Grands gagnants, catégorie francophone :

    • 1re – Coralie Morin (École St-Joseph – Bas Saint-Laurent);
    • 2e – Evelyne Angers (St-Germain d’Outremont – Montréal);
    • 3e – Mauricio Fino (Charles-Perrault – Montréal).
  • Grands gagnants, catégorie français langue seconde :

    • 1re –Hiba Mouihi (École Henri Matisse, Maroc);
    • 2e – Kaï Blondin (Endinbourg, Montréal);
    • 3e – Georges Ndecky (Pré-Séminaire St-Jean, Sénégal).

  • Gagnants régionaux, catégorie fancophone :
    • Québec : Coralie Morin du Bas Saint-Laurent – École St-Joseph;
    • Ontario : Samuel Vinh Dufresne d’Ottawa – École catholique Elizabeth-Bruyère;
    • Provinces de l’Atlantique : Etienne Foulkes de l’Île-du-Prince-Édouard – École François-Buote;
    • Provinces de l’Ouest du Canada : Béatrice Kenny  de la Colombie-Britannique- École André-Piolat.
  • Gagnants régionaux, catégorie français langue seconde :
    • Québec : Kaï Blondin de Montréal – Edinburgh Elementary School de Montréal;
    • Ontario : David O’Sullivan de Nepean – Knoxdale Public School;
    • Provinces de l’Ouest du Canada : Bella Essau de la Saskatchewan – Gravelbourg Elementary School;
    • Hors Canada : Hiba Mouihi du Maroc – École Henri Matisse.

Lors de ce grand rassemblement de la Francophonie animé par le porte-parole de la Fondation, François-Étienne Paré, 69 écoliers de 5e et 6e année provenant du Canada, des États-Unis, du Sénégal, du Maroc et de l’Algérie se sont efforcés de faire le moins de fautes possible afin de remporter l’une des trois bourses d’études. Parmi les participants, on comptait 52 finalistes dans la catégorie francophone et 17 dans la catégorie français langue seconde. La dictée de cette ultime épreuve a été lue par la comédienne Sophie Faucher et s’est déroulée en présence de Géronimo Stilton, personnage adoré des jeunes lecteurs, rédacteur en chef de L’Écho du rongeur. La présidence du jury de correction a été assurée par Marie-Pierre Nogarède, directrice des Programmes internationaux à la Fondation Paul Gérin-Lajoie.

Cette année, le Grand Concours Desjardins permettait aux écoles ayant inscrit toutes leurs classes à La Dictée P.G.L. de soumettre un projet innovateur et ainsi courir la chance de gagner 10 000 $ pour sa réalisation. À la tête de ce comité, Raphaël Grenier-Benoît qui est engagé auprès de La Dictée P.G.L. depuis quelques années.

L’école La Farandole de McMasterville a remporté le prix de 10 000$ pour son projet-école.

Hydro-Québec a aussi remis un prix à la gagnante du Concours Allume tes lumières ! Julia Lefebvre de l’école Ste-Madeleine de Vaudreuil-Dorion a été récompensé pour la qualité de son texte sur le thème Vivre ensemble la diversité.

Bien plus qu’une activité pédagogique !

Dans le cadre de La Dictée P.G.L., une Cueillette du partage est organisée et permet aux enfants de solliciter des dons d’encouragement auprès de leur famille pour chaque mot bien orthographié. Chaque école participante peut conserver jusqu’à la moitié des sommes ainsi recueillies pour ses propres projets scolaires, l’autre moitié est remise à la Fondation Paul Gérin-Lajoie. L’édition 2015-2016 de La Dictée P.G.L. a permis d’amasser un montant de 664 328 $. Un montant de 380 928 $ ira à la Fondation pour soutenir ses programmes d’éducation, d’alphabétisation et de formation professionnelle au Bénin, en Haïti, au Mali et au Sénégal et 283 400 $ seront conservés dans les écoles d’ici pour la réalisation de projets et d’activités culturelles.

Cette 25e édition aura permis aux enfants du primaire et du secondaire d’améliorer leurs compétences en français, tout en les sensibilisant à l’importance de la solidarité internationale et de l’éducation pour le développement d’une société plus juste.

Des partenaires impliqués et fidèles !

La 25e édition de La Dictée P.G.L. n’aurait pas été possible sans le soutien inestimable de partenaires fidèles, notamment Desjardins, partenaire présentateur de La Dictée P.G.L., Hydro-Québec, partenaire majeur, l’Autorité des marchés financiers, le Gouvernement du Québec, le Ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec, Druide informatique, l’Association québécoise des enseignantes et des enseignants du primaire (AQEP), CREO de même que le Campus Notre-Dame-de-Foy.

À propos de la Fondation Paul Gérin-Lajoie

La Fondation Paul Gérin-Lajoie est une organisation à but non lucratif qui a pour mission de contribuer à l’éducation de base des enfants, de même qu’à l’alphabétisation et à la formation professionnelle des jeunes dans les pays en développement. Au Canada, la Fondation mène des activités de sensibilisation à la coopération et à la solidarité internationale.

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Pour obtenir tout complément d’information, veuillez communiquer avec :
Lydia Côté
514 288-3888, poste 235
fpgl@fondationpgl.ca

Découvrez les grandes championnes de La Dictée P.G.L. 2016 au secondaire

MONTRÉAL, le 13 mai 2016 – Hier a eu lieu la Grande finale nationale pour les élèves de secondaire 1 et de secondaire 2 (7e et 8eannée) dans le cadre de La Dictée P.G.L. organisée par la Fondation Paul Gérin-Lajoie et présentée par le Mouvement Desjardins. À l’issue de cette épreuve qui se déroulait, pour la seconde fois, en ligne, la Fondation est heureuse d’annoncer que les grandes gagnantes de la dictée sont :

  1. Sophie Arnaud de l’école Carrefour de l’Acadie, à Dieppe;
  2. Sofia Mangov du Collège Saint-Sacrement, à Terrebonne;
  3. Rebecca St-Laurent du Collège de Champigny, à Québec.

Les responsables de ces trois écoles recevront un courriel d’explications pour la remise des prix d’ici le lundi 16 mai.

Lors de ce grand rassemblement de la Francophonie, 74 écoliers de secondaire 1 et 2 (7e et 8e année) provenant du Canada se sont efforcés de faire le moins de fautes possible afin de remporter une des trois bourses d’études:  2000$ pour le 1er prix, 1000$ pour le 2e prix et 500$ pour le 3e prix.

La dictée sera disponible dans les dictées audio, autour du 1er juin 2016. Mais dès aujourd’hui, vous pouvez accéder au corrigé Antidote du texte.

Tous les participant.e.s recevront, par la poste, leur certificat de participation et 5 prix de participation seront tirés au sort d’ici la fin des classes.

Les résultats de vos élèves vous seront communiqués sous peu.

Félicitations à tous les participant.e.s et merci aux responsables pour votre collaboration! Vous avez tous fait de cette édition un véritable succès!

L’équipe de La Dictée P.G.L.

Les grandes finales de La Dictée P.G.L.

Les grandes finales de La Dictée P.G.L.FinaleSecondaire_infolettreMAI

  • Grande finale internationale: La Grande finale Internationale de La Dictée P.G.L. se tiendra le 29 mai 2016 au Campus Notre-Dame de Foy. Les enfants seront heureux d’apprendre que le texte de la dictée est de Géronimo Stilton, personnage adoré des jeunes lecteurs, rédacteur en chef de L’Écho du rongeur.
  • Finale du secondaire: Des élèves de secondaire 1 et 2 feront, en direct de leur école respective, une dictée en ligne dans le cadre de la finale du secondaire de La Dictée P.G.L., le jeudi 12 mai prochain. Bon succès à toutes et à tous!